C’est bien joli de rêver à une autre vie, un autre emploi en s’accrochant à l’adage « l’herbe est plus verte ailleurs ». Seulement, mal anticipée, une reconversion peut s’avérer être une vraie déception.
Comment gérer le changement de situation sans céder à un coup de folie ?
Quitter son job pour entamer une reconversion, est un phénomène qui n’est plus rare de nos jours. Bon nombre d’entre nous se lance dans une nouvelle carrière à la recherche d’un second souffle dans leur vie professionnelle.
On vous livre les erreurs fréquentes à éviter pour ne pas se planter !
Erreur n°1 : se précipiter
A vouloir aller trop vite, on finit par se prendre les pieds dans le tapis. Avant d’envoyer votre lettre de démission à votre boss le sourire aux lèvres, prenez le temps de vous poser les bonnes questions :
- Pourquoi je veux changer de métier ?
- Qu’est-ce-que je ne veux plus ?
- A quel équilibre j’aspire dans ma vie professionnelle ?
- La reconversion est-elle pour moi la bonne solution ?
L’objectif est de vous rendre compte si votre besoin de changement est réellement lié à votre travail ou non. Il est important de faire la part des choses entre vos aspirations et les projections que peuvent avoir votre entourage, du style « je te verrais bien faire ça », « tu devrais trop appeler un tel, tu es fait(e) pour ça » … Même si cela part d’un bon sentiment, les avis de votre entourage peuvent être parfois bloquant voire enfermant.
« Décantez » les informations, les conseils que vous avez reçus, est un bon moyen de vérifier si cela est cohérent avec ce qui vous fait vibrer.
Erreur n°2 : avoir peur de l’échec
Dès que l’on aborde le sujet de l’échec, la crispation et l’angoisse s’invitent dans la conversation. Pourtant, l’échec ne doit pas être un frein à aller vers ce qui vous fait envie. On ne compte plus le nombre de personnalités, conférenciers, artistes qui font l’éloge de l’échec comme la voie de la réussite. Il est bien naturel de ressentir de la peur à l’idée de se lancer dans une nouvelle carrière, ou de regretter ce nouveau choix, de ne pas être à la hauteur etc… Seulement, ne serait-il pas plus regrettable de ne pas essayer du tout ? L’échec en reste un seulement s’il est vu comme un acte inutile dont on ne tire aucun enseignement. A l’inverse, il peut être perçu comme un chemin d’apprentissage, un terrain d’exploration vers une plus grande confiance en soi et en ses ressources. Il faut comprendre les raisons qui se cachent derrière la peur de l’échec. Soulever ses blocages et identifier ses barrières sont essentiels avant d’entamer une reconversion.
Erreur n°3 : faire l’impasse sur ses soft-skills
Les compétences comportementales ont le vent en poupe ! Loin de passer au second plan, ces soft-skills désignent à la fois l’intelligence relationnelle, les capacités de communication mais aussi les aptitudes interpersonnelles. Ne les négligez pas ! La première étape est de connaître les vôtres : suis-je créatif ? A l’écoute ? Plutôt curieux ? Persévérant ? Bref autant de questions qui amèneront à une meilleure compréhension de ce qui fait votre valeur-ajoutée. Plus vous trouverez l’équilibre entre ces deux pôles de compétences, plus vous trouverez du sens à votre reconversion.
Au travers du métier de diagnostiqueur, vous développez à la fois vos compétences personnelles et techniques. Cette profession nécessite un savoir-faire spécifique (qui constitue le cœur du métier) et de réelles qualités relationnelles avec la clientèle et les différents acteurs du secteur.
Les valeurs chères à notre réseau Activ’Expertise telles que la solidarité et l’écoute, permettent de s’affirmer en tant que diagnostiqueur indépendant tout en se sentant soutenu par une franchise qui vous accompagne dans votre reconversion.
Se reconvertir ne s’improvise pas, alors si le métier de diagnostiqueur immobilier vous fait de l’œil, nous restons disponibles pour répondre à vos questions et vous accompagner dans votre transition professionnelle.
Source : www.hr-voice.com / www.ifocop.fr